Sophie Vander Auwera, une directrice opérationnelle formée à l'actuariat
« Je me donne toujours à 100 %. Jusqu'à ce que tout soit au point. » Sophie Vander Auwera a étudié les sciences actuarielles et est aujourd'hui directrice opérationnelle chez AG. Une fonction qui lui permet d'être proche de ses collaborateurs et au cœur du business, sans empiéter sur son équilibre entre travail et vie privée. Un parcours atypique, mais chez AG, c'est parfaitement possible. Parce que c'est vous qui choisissez le sens que vous donnez à votre fonction. Et cela ouvre des portes, des opportunités d'évolution. Découvrez l'histoire de Sophie, postulez chez AG avec votre diplôme d'actuariat, et découvrez quel cap vous pouvez suivre !
D'un emploi d'actuaire à celui de directrice chez AG
Ne parlez pas de décimales à Sophie Vander Auwera. Car même si à l'époque, elle aimait se plonger dans la gestion des produits, ce sont en réalité les histoires qui la boostent vraiment. Et surtout les rencontres avec les personnes qui se cachent derrière ces histoires. « C'est pourquoi, après 15 ans de travail purement actuariel et stratégique, je suis devenue directrice commerciale puis opérationnelle chez AG. Il s'agit de deux fonctions très concrètes, axées sur le business proprement dit. Proches des courtiers et des collaborateurs. »
Mais le télétravail a aussi ses avantages, je ne vais pas le nier. Je ne suis pas seulement directrice, je suis aussi une maman. Un rôle que je peux vraiment assumer chez AG!
Donner autant qu'elle reçoit
Comment Sophie remplit-elle ce rôle de directrice ? AG lui laisse une grande liberté : « On comprend mieux ses collaborateurs quand on les implique. Comment collaborent-ils ? Qu’est-ce qui les motive ? Qu'est-ce qui les préoccupe ? Mais il faut aussi leur donner de la liberté. Et avoir confiance en chacun et chacune pour assumer ses fonctions comme il se doit. »
« Cet équilibre entre donner et recevoir est important pour moi - savoir quand vous pouvez occuper l'espace et quand mettre quelqu'un d'autre en avant. Surtout dans mon cas. J'envahis littéralement l'espace, parce que je suis grande, que je porte des talons et que ma communication non-verbale est tout sauf discrète. Donc en ce qui concerne l'implication : oui, toujours. Mais en première ligne, uniquement si c'est nécessaire. »
L'équilibre : directrice et maman, au bureau et en télétravail
Sophie recherche également un équilibre entre vie professionnelle et vie privée. « Télétravailler à plein temps ? Non, merci. Je préfère avoir l'impression d'être dans une ruche, avec un bourdonnement ambiant incessant. Qui plus est, la présence au bureau favorise l'esprit d'équipe. Dans ma jeunesse, par exemple, je pratiquais la natation artistique. Les chorégraphies ne sont synchronisées que si chaque membre de l'équipe sait exactement ce qu'il doit faire. C'est exactement la même chose chez AG. Cela ne fonctionne que si tout le monde accomplit de manière coordonnée les tâches qui lui sont assignées. »
« Mais le télétravail a aussi ses avantages, je ne vais pas le nier. Je ne suis pas seulement directrice, je suis aussi une maman. Un rôle que je peux vraiment assumer chez AG. À la maison, je n'hésite pas à écouter de la soul en pantoufles. Un genre musical qui dégage beaucoup de force, les artistes se donnent toujours sans compter. Comme moi : toujours à 100 %. Jusqu'à ce que tout soit au point. »
L'esprit d'équipe en période de changement
Sophie est à sa place en tant que directrice opérationnelle. « Dans une période chargée comme maintenant, mon équipe se donne à fond. Il y a beaucoup de changements, des processus qui évoluent, de nouveaux systèmes, les demandes des courtiers... Les défis s'accumulent. Mais nous gardons notre sang-froid, et nous mettons tout en œuvre, ensemble, comme une équipe. »