Les Antwerp 10 Miles à travers les yeux de cinq collaborateurs d'AG
Travailler chez AG, ne se résume pas juste aux assurances. Parfois, c'est aussi courir à pleins poumons. Pour l'Antwerp 10 Miles par exemple. Pas moins de 500 collègues d’AG ont relevé le défi en participant à cette course. Cinq d'entre eux l'ont même fait après avoir remporté, au travail, un programme de coaching individuel. Comment ont-ils vécu ces derniers mois ? Et ont-ils réussi à atteindre leur objectif pour les Antwerp 10 Miles ?
Avec le programme de bien-être d'AG,nous voulons que nos employés se sentent bien dans leur peau. Et nous les challengeons régulièrement. Par exemple, en janvier 2022, chaque employé d'AG pouvait concourir pour tenter de gagner un coaching personnel en vue des Antwerp 10 Miles, le dimanche 24 avril. Pour participer, une seule condition : expliquer sa motivation au coach et collaborateur AG Valentin Poncelet.
Andy Van de Walle, Mieke Van Acker, Claire Puttemans, Patrick Van Obergen et Geraldine Goblet ont su convaincre leur futur coach. Ils ont non seulement suivi un programme d'entraînement sur mesure et obtenu des conseils personnalisés, mais ils ont aussi pu choisir une paire de chaussures chez Runners'Lab/Trakks et une tenue professionnelle. En bref, ils étaient parés pour l'aventure.
« Je ne veux pas faire moins bien que mes enfants »
Géraldine Goblet a déjà participé à plusieurs compétitions. Mais jamais en ayant un objectif ou après avoir bénéficié d'un accompagnement. Avec ce coaching, elle comptait bien changer les choses. Et ce n'est pas tout : Géraldine veut participer avec sa famille aux « 20 km de Bruxelles ». Elle ne veut absolument pas être dépassée par son fils de 14 ans et sa fille de 16 ans. Pour s'en assurer, elle n’a pas ménagé ses efforts à l'entrainement. Comment a-t-elle vécu le coaching ?
« Super, c'est plus motivant de s'entraîner sous la direction d'un coach. Même si ce n'était pas toujours facile. Il mettait vraiment la barre très haut, et je ressentais même parfois de la frustration quand je n'atteignais pas les objectifs que je m’étais fixés. Mais c'est aussi ce qui me motive à faire mieux la prochaine fois et à me surpasser. » Ces 10 semaines suffisaient-elles pour relever le défi ? « C'était un peu court pour vraiment viser un record personnel. Surtout que j'ai connu quelques pépins physiques. Je suis donc incroyablement heureuse de mon résultat. Ça s'est encore mieux passé que ce que j'avais esperé ! Et ça je le dois à Valentin et ces incroyables conseils : les 20 dernières minutes, j'ai tout donné ! Et qui sait, je ferai encore mieux la prochaine fois !
« 13 km d'endurance pour faire 16 km. Ça va bien se passer »
Andy Van de Walle l'avoue : il n'avait encore jamais couru plus de 10 km. Pour lui, faire 5 km deux fois par semaine était déjà un sacré tour de force. En 2020, il avait même complètement arrêté de courir à cause du syndrome des loges. Cette affection chronique provoque constamment des blessures parce que le tissu qui entoure les muscles est trop serré. Depuis, Andy a retrouvé sa condition. Il ne lui manquait que l'envie. Valentin to the rescue.
« Nous avons préparé cela à notre aise. Valentin a élaboré un plan réaliste, étape par étape, et je pouvais rapidement en voir les résultats. Une semaine avant les 10 Miles, j'ai fait une course d'endurance de 13 km. Et ça s'est bien passé. La dernière semaine, je n’ai pas fait de folies. Mon objectif était avant tout d'atteindre la ligne d'arrivée. -Et si possible, en dessous d’1 heure 40 minutes. Et j'ai fait encore mieux : 1 heure 36 minutes, fantastique ! C'est génial d'être encouragé par tous ces gens, ca vous porte tellement à encore plus vous dépasser ! »
« Je cours contre moi-même »
Patrick Van Obergen a participé aux Antwerp 10 Miles pour la première fois en 2019. Il était très content de son chrono d'un peu moins d'une heure et vingt minutes. Si seulement son collègue n'avait pas fait mieux... Une question de secondes, mais la prochaine fois, il faudrait faire mieux. Patrick y voit d'abord une compétition contre lui-même. Il a déjà sollicité l'aide de plusieurs coachs virtuels, comme Jeff Galloway, et a été assisté par Google. Mais pour lui, ce n'est pas comparable à un coach personnel.
« Valentin me fournissait un planning chaque semaine. Ce n'était pas à sens unique, car si quelque chose me semblait trop ambitieux, je le lui faisais savoir et il corrigeait le tir. Une fois, j'ai dû vraiment puiser dans mes réserves. Un peu trop même, puisque j'ai fini avec une petite blessure. Mais dimanche, je sentais que j’étais prêt pour le défi. Au final, j’ai fait 1 minute au-dessus de mon temps espéré.. C'était difficile comme course, mais je suis très satisfait ! »
« Rien de tel qu'un coach pour la motivation »
Mieke Van Acker a commencé avec Start-to-run l'année dernière. Elle avait terminé les 5 km mais le rythme aurait pu être plus élevé, selon elle. En novembre 2021, la pandémie a contrecarré ses plans. Maintenant, elle fallait tout recommencer à zéro. Et cela prend du temps. Un coach ne serait pas de refus pour lui donner plus de motivation et l’aider à se remettre en selle. L'année dernière, elle a participé à l'AG Coast Walk et elle voulait ressentir à nouveau la satisfaction qu'elle avait éprouvée à ce moment-là. Malheureusement, on ne peut rien contre le destin. Mieke est tombée lors de son dernier entraînement.
« Je souffre d'une entorse. J'ai immédiatement compris que je ne pourrais pas participer. Sur le moment, j'ai juré, j'avais tellement hâte de courir avec mes enfants. Dommage, mais ce coaching n'est certainement pas perdu. Ça m'a beaucoup aidé. Les entraînements par intervalles étaient difficiles mais m'ont aidé à atteindre mon objectif, qui était de courir plus vite. Qui sait, peut-être que je serai au départ l'année prochaine. Et dimanche j’étais quand même présente, non pas en tant que participante mais en tant que supporter. »
« Franchir la ligne d’arrivée avec le sourire »
Avant son programme de choaching, Claire Puttemans arrivait à peine à faire 5.000 pas par jour. « C’est clair que le télétravail n’a pas aidé », dit-elle. S’il y avait bien une chose qui pouvait l’aider, c’était un coaching de Valentin. « Les séances étaient variées et adaptées à mon rythme.. Parfois, je devais me motiver pour enfiler mes chaussures, mais après, la satisfaction n'en était que plus grande. »
Comme ses baskets étaient neuves, son pied droit lui faisait un peu mal. Heureusement, c’était de l’histoire ancienne une fois arrivée au départ de la course. « Et je l'ai fait !! En 1 heure 42 minutes. J'ai couru tout le temps en compagnie de personnes qui poussaient des personnes en fauteuil roulant, une ambiance très agréable et motivante ! Il n'a donc pas été difficile de tenir ma promesse : franchir la ligne d'arrivée avec le sourire ! »