Nicolas Voet, de stagiaire à gestionnaire en un clin d’œil
Chaque année, AG propose des stages aux étudiants en 3e année de bachelier en assurance/finance, économie ou droit. Nicolas Voet, qui a décroché un CDI et rejoint l’équipe des gestionnaires dans notre centre opérationnel de Charleroi directement après son stage, nous raconte son expérience, ce qu’il a apprécié durant son stage, l’ambiance au travail et pourquoi AG était un choix évident.
Une intégration fluide et rapide
Après avoir terminé son stage chez AG en mai 2022, Nicolas a décroché son diplôme en juin et a rejoint l’équipe des gestionnaires en juillet. Un « petit nouveau » donc, qui se rappelle son arrivée chez AG. « Je savais que je n’aurais pas de banderole ‘Welcome Nicolas’ à l’entrée du bâtiment, mais je me suis tout de suite senti à l’aise. Pas de vouvoiement chez AG et surtout, tout le monde se dit bonjour dans les couloirs. »
AG organise tout au long de l’année des moments pour générer des bonnes vibes sur le lieu de travail.L’initiative est également laissée aux équipes. « Très souvent, il y a des moments de partage avec les collègues durant lesquels on apprend à mieux se connaître, comme les anniversaires. Tu partages un morceau de gâteau et au final, tu te retrouves à faire du co-voiturage quelques jours plus tard. C’est très sympa. Il y a un vrai contraste entre l’image de la grande entreprise et cet esprit de famille qui vit sur le plateau. »
Lier stage et TFE ? Pas de souci !
AG accueille des stagiaires toute l’année. La plupart d’entre eux rejoignent les services opérationnels à Bruxelles, Anvers ou Charleroi. Ils peuvent même lier leur stage avec leur sujet de mémoire ou de TFE ! Nicolas nous explique son cas : « Je voulais faire de l’assurance incendie mon sujet de TFE. C’est un produit non obligatoire mais tellement essentiel et surtout méconnu. Peu de personnes savent exactement les couvertures reprises dans leur contrat. »
Nicolas poursuit : « Je voulais également du concret. J’ai travaillé sur un cas intéressant : des habitations similaires dans une même rue mais avec des tarifications différentes. Le but était de comprendre les raisons qui expliquaient les différences de primes et d’isoler ces facteurs. »
La vie sur le plateau est fort agréable. Je me sens « chez moi » dans mon service.
Travailler sur de vrais dossiers
Au fil des années, des contacts se tissent entre les Hautes Écoles et AG. C’est notamment le cas de la Haute École Condorcet (site de Charleroi) et de sa section bachelier en droit. Nicolas explique : « A l’école, les professeurs référents nous donnaient des bons retours concernant les stages chez AG. Ils insistaient notamment sur la nécessité d’un bon encadrement. Et c’est vrai ! Du premier au dernier jour, je n’ai jamais été laissé seul. Tous les collègues se sont montrés disponibles pour m’aider. »
Une organisation apprenante, voilà la vision qu’AG veut mettre en place. Mais aussi rendre les collaborateurs autonomes et les pousser à se développer de façon permanente. Une vision à laquelle Nicolas adhère : « Les cours théoriques c’est bien, mais la pratique c’est mieux ! Durant mon stage, j’ai pu travailler sur de vrais dossiers : adaptation, suppression des garanties, création de nouveaux contrats. C’est agréable car c’est très varié. Il faut aussi être bien concentré car chaque décision a un impact sur la gestion du contrat et donc sur nos clients également. Au fil des semaines, j’ai pu prendre des responsabilités et à présent, je suis en contact direct avec les courtiers. Et quand j’avais un doute, mon parrain et mes collègues étaient là pour m’aider. »
Des avantages et un contrat en fin de stage
Bien que l’enseignement soit accessible à tous, dans les faits, cela peut représenter un budget important pour les étudiants. AG l’a bien compris :« J’ai reçu des chèques-repas et mes frais de transport étaient remboursés », continue Nicolas. « En comparant avec mes camarades de classe, j’étais un des seuls dans le cas. »
Bien sûr, cela ne doit pas être le premier critère pour choisir votre stage. Ce qui compte, c’est avant tout le contenu, les responsabilités et – surtout – le suivi. Nicolas poursuit : «Chez AG, les managers s’impliquent. J’avais une personne référente. Encore maintenant, nous faisons le point chaque semaine sur mes dossiers et sur les difficultés éventuelles. C’est rassurant de pouvoir s’appuyer sur une personne plus expérimentée.
Au fil des semaines, tu gagnes en autonomie et en flexibilité, tant du point de vue du contenu, des horaires que du nombre de jours en home working. Actuellement nous pouvons prester jusqu’à 3 jours en home working. Tu gagnes plusieurs heures de trajet sur la semaine, c’est vraiment agréable ». Le télétravail fait désormais partie intégrante de notre vie. Vous voulez être plus présent au bureau ? C’est vous qui voyez ! Nicolas, lui, a choisi : « Personnellement, j’ai besoin de plus d’interactions avec les collègues. Donc, je viens un maximum au bureau. Il y a aussi un manager qui est présent tous les jours : en cas de besoin, j’ai toujours le support nécessaire. »
Et, finalement, la possibilité d’avoir un CDI en fin de stage. Une suite logique, aussi pour Nicolas ? « Tout est allé très vite. Quand j’ai appris qu’il y aurait une place vacante dans le service où j’effectuais mon stage, j’en ai parlé avec mon manager. Il a planifié une rencontre avec les Ressources Humaines dans la foulée et quelques jours avant la fin du stage, tout était réglé ! J’avais déjà partagé 4 mois de ma vie ici. Je ne me voyais pas ailleurs. »
« Je me sens « chez moi » dans mon service »
« La vie sur le plateau est fort agréable. Je me sens « chez moi » dans mon service. De temps en temps, il y a un petit déjeuner ou un collègue apporte des pâtisseries sans raison particulière. Juste pour déconnecter. Je dois avouer que je me suis aussi surpris à le faire : pour la fin du stage, j’ai apporté des pâtisseries pour remercier l’ensemble des collègues pour l’accueil et le soutien. »
